Tchad : « Artisans d’un Tchad Nouveau » (ARTN) 1er parti politique né sous la 5ème République

Le président national du parti « Artisans d’un Tchad Nouveau » (ARTN) M. Djimhomadji Kradji Parfait a lancé officiellement ce samedi 06 janvier 2024 au Centre Almouna, sa formation politique dénommée « Artisans d’un Tchad Nouveau » (ARTN) couplée avec la conférence de presse en présence de ses militants venus agrémenter la cérémonie.

« Artisans d’un Tchad Nouveau » (ARTN) est un parti politique qui s’offre à vous comme un cadre consensuel et participatif afin que vous tous puissiez travailler ensemble autour des valeurs universelles pour prendre en main notre destin, le destin de nos enfants », déclare-t-il avec aise à l’issue de la cérémonie de lancement sa formation politique « Artisans d’un Tchad Nouveau » (ARTN). A pour slogan « Pour un Tchad meilleur » et pour devise « Fraternité-Justice-Paix), cette nouvelle formation politique « Artisans d’un Tchad Nouveau » (ARTN) doit certainement faire face aux défis politique et socio-économique.
Les vicissitudes catastrophiques de la vie telles que les atermoiements et difficultés de compréhension durant le Dialogue National Inclusif et Souverain et les fractures qui s’en sont suivies dans les différents camps ; les risques de confrontation violente qui sont malheureusement dTchadevenus une réalité ; un engagement timide voire un désintérêt vis-à-vis de la lutte politique observée au sein d’une frange de la population, celle de la génération des 40-60 ans, tous ces vis ont amené le président fondateur « Artisans d’un Tchad Nouveau » (ARTN), Djimhomadji Kradji Parfait à envisager offrir une alternative plus consensuelle et participative qui regrouperait tous les Tchadiens à se sacrifier pour leur pays.
Abordant le problème économique et social, il a souligné que malgré que le Tchad soit un pays pétrolier qui exploite l’or noir depuis 20 ans, il n’a pu régler les problèmes qui gangrènent l’éducation nationale, les problèmes épineux des jeunes sont le chômage. Il a par ailleurs lancé que le Tchadien depuis 30 ans, ne peut avoir l’accès à la santé primaire moins encore aux infrastructures adéquates qui sont pourtant les mamelles de l’économie tchadienne, précise-t-il. Embrouillé par le devenir du Tchad, il a fini par s’interroger comme faisait Socrate pour apporter une solution aux problèmes. « Comment qu’un pays aussi vaste, doté des ressources naturelles aussi immenses soit plongé dans la misère la plus criarde ?», « Comment comprendre qu’un pays dont la population se revendique majoritairement croyante n’arrive pas à mettre en œuvre les valeurs de charité et de pardon que professent ses fidèles musulmans, chrétiens et animistes, toutes confessions religieuses confondues ? Ces interrogations vont peut-être amener le Président fondateur à se démarquer des autres dans le paysage politique tchadien.